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Le “ Manhattan 74 “
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de Cendro
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Le 7 octobre 2007
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Mise à jour : le 30 décembre 2007 13:43
Le “ Manhattan 74 “ appartient à Cendro. ▼ Le “ Manhattan 74 “ est un navire atypique. ▼ C’est à son mode de propulsion qu’il doit sa différence. ▼ Ce n’est pas encore flagrant sur cette vue mais,
une chose saute aux yeux malgré tout, il n’y a pas de gouvernail ni hélice. ▼ Sur cette photo, c’est clair, pas d’hélice pas de gouvernail.
Mais comment fait-il pour se mouvoir et se diriger ? ▼ ▲  En fait, ces deux choses noires sont des hydrojets. ▼  Bon d’accord, j’ai un peu menti. Il y a bien une voire deux hélices. Elles sont bien cachées à l’intérieur d’un tube entre le  tunnel d’amenée d’eau et la bouche de sortie. Cet ensemble est une turbine appelée hydrojet. ▲
rotor de la turbine
arbre de transmission de la turbine
écope de marche arrière
tunnel de sortie d’eau
tunnel d’entrée d’eau
L'eau située sous la carène est aspirée par le rotor au travers du tunnel d’amenée. Ce rotor, entraîné par l'arbre de transmission, est constitué d'un moyeu tournant supportant plusieurs pales. Le flux est ensuite redressé par un stator (rotor fixe) qui, au passage, récupère de la poussée. L'eau est enfin rejetée au-dessus de la surface par le tunnel de sortie. Ce tunnel, orientable grâce à deux vérins, remplace le gouvernail : le flux dévié crée une force latérale qui fait tourner le navire. Un déflecteur de marche arrière, mu par un vérin, est déployé, en modifiant la direction du jet non pas vers la poupe mais vers la proue du navire, permet le freinage rapide ou la marche arrière.  ▲
L'hydrojet présente deux avantages sur l'hélice : il possède un meilleur rendement à haute vitesse (de l'ordre de 10 %) et il procure une sécurité accrue en cas de nécessité d'arrêt brutal grâce au frein à écope. Le mécanisme d’éjection de l’eau en gros plan. ▼

                         Commande de direction.             Commande de l’écope de marche arrière.                                         Vue de la carène et du mécanisme de propulsion. ▼                                L’eau pénètre par ces deux bouches d’aspiration, qui sont les entrées des tunnels d’amenée d’eau. ▲   
Ces bouches sont munies de grilles, dont la fonction est d’empêcher les débris flottant d’être aspirés par la turbine.
Ces débris ne manqueraient pas ensuite obstruer les tunnels et de bloquer les hélices internes.
Chemin de l’eau
Chemin de l’eau
Déplacement du navire
Les déflecteurs sont en position effacée, donc marche avant du bateau. ▲
L’eau est éjectée à grande vitesse selon les flèches bleues. Les déflecteurs sont en position en place, donc marche arrière du bateau. ▲
L’eau est éjectée à grande vitesse selon les flèches bleues. Une batterie d’alimentation pour un moteur d’entraînement de chaque hydrojet. ▲
Une pompe alimentée également par sa batterie fournie de l’eau de refroidissement aux moteurs électriques. Nous voyons mieux les choses avec cette illustration trouvée sur le site Rolls-Royce. ▼ Les différentes positions du déflecteur sur le tunnel de sortie d’eau. ▼
Marche avant
Arrêt
Marche arrière
Direction tribord
Direction bâbord
Différents modèles d’hydrojets. ▼ Caractéristiques des différents modèles d’hydrojets Rolls-Royce. ▼ Eléments constitutifs de la turbine. ▼
Rotor
Stator
Hydrojets prêts à être montés
Dernière génération d’ hydrojet
Après cette digression sur les hydrojets, voyons l’application sur le Manhattan 74 de Cendro.                      Vue en gros plan du circuit de refroidissement. ▼ Vue générale de l’intérieur du Manhattan 74. ▼ Ici nous trouvons le propulseur d’étrave. ▲
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Quatre vidéos de chez HamiltonJet pour expliciter. ▼
 
 
 
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